Gustave le farfadet

21 février 2006

De l'élite étudiante

Vous avez déjà remarqué comme être universitaire rend stupide et arrogant? Extrait d'une conversation suprise l'an dernier dans la cafeteria des lettres à Neuchâtel (morne ville). Un étudiant, lisant le journal (ben ouais on est censé aimer lire...) à son camarade "Federer c'est quand même un sacré connard, il engrange une fortune en ne fouttant rien de sa vie, il fait que jouer au tennis". Remarque très pertinente... Surtout venant de la part d'une personne qui a tout de même environ 6 mois de vacances par année (j'entend un cri "faut bien préparer les exas!!!" On me la fait pas... le premier qui passe 6 mois par année à travailler pour ses études a le droit de me balancer tous les volumes de la pléiade dans la gueule) et qui, après avoir fini ses 12 ans d'études (ben ouais on est pas pressé quand on a autant de vacances) gagnera sans doute le double d'un apprenti se crevant le cul sur des chantiers depuis l'âge de 15 ans. Et ça ose encore se plaindre. De plus j'aimerais bien voir ce personnage au physique plus que douteux (en tout cas au niveau de la forme, et des cheveux gominés à l'extrême) montrer au monde à quel point c'est la glande de devenir numéro un mondial de tennis... Pfeuh... ce Federer c'est vraiment un branleur...


19 février 2006

"Je" olympique (ou plutôt nous...)

Comme tous les deux ans Nous voilà plongé dans la plus importante compétition sportive du monde. Et oui, Nous. Car à entendre parler les gens, nous ne sommes pas loin de 7 millions à avoir battu le Canada ou à avoir remporté l'argent en se trémoussant sur la glace. Comme tous les deux ans nous pouvons sentir une vague de chauvinisme et de patriotisme déferler sur notre petit pays. Je ne conteste pas le fait qu'il faut être fier, que c'est super et tout et tout, mais laissez leurs victoires aux sportifs. Nous n'avons pas battu le Canada, mais l'équipe suisse l'a fait. Nous n'avons pas remporté l'argent, un petit Valaisan l'a fait. Cessez donc de dire nous, sans quoi vous pourriez passer pour un agent infiltré venu du poulailler voisin (mondialement reconnu pour son chauvinisme sans borne). Je doute qu'un Nous soit aproprié sortant de la bouche d'un éspèce de mollusque qui s'est contenté de se goinfrer de chips et de bières en bavant devant son écran et en hurlant à chaque goal marqué. Il aurait tout au plus pu concourrir pour la médaille d'or catégorie "Beauf en caleçon se grattant les couilles devant la télé", mais cette discipline n'en est qu'au stade de projet (son inventeur n'arrive pas à décoller de son fauteuil pour aller le déposer au CIO, ses charentaises de courses n'attendent que le premier pas).
Nous sommes tous en bonne place pour le rôle de champions du monde de la froideur et du mépris (en général, tant que l'on n'est pas obnubilé et tous "réunis" par l'effet médaille), mais nous ne sommes surement pas tous champions de sport d'hiver. Donc restons à nos places et laissons leur travail aux sportifs!
Je m'en retourne à mon fauteuil et mes charentaises de combat. Le dimanche c'est compétition pour champion des larves, j'ai mes chances.

Loi des séries

Au-delà du réel je recherche les cités d'or
Et l'espion qui m'aimait comme un Saint me traite de Drôles de dame,
Pourtant c'est lui qui est vêtu de Chapeau melon et bottes de cuir.
Il est revenu à L'aube des morts sans pour autant jouer Les survivants,
Car il venait d'être Sauvé par le gong. On aurait pu l'appeler Ricky ou la belle vie,
Mais il préférait Belle, et Sébastien. Malheureusement pour lui il avait emprunté Les sentiers de la perdition et s'étais retrouvé Affranchi.
Tous les coups sont permis mais c'est souvent pour une Cavale sans issue que l'on s'embarque.
Rendre Coup pour coup ne sert à rien lorsque l'on est pris dans Un piège à Hong Kong tel un Légionnaire désabusé. Je le lui avais pourtant dit.
Il se prenait pour un Top Model alors il parti à Dallas. Il revient en moins de 24 heures chrono.
Il perdit le fil et de fil en aiguille il prit un Colombo de poulet qui lui rappela qu'il n'avait Pas de pitié pour les croissants. Et il vécut Le jour d'après avec La mort aux trousses.

P.S.: si après ça on me dit que la TV et le cinéma ne font aucun tort à notre esprit et ne marquent en rien notre imaginaire, je veux bien regarder Derrick jusqu'à la fin de mes jours!

Quand la jeunesse s'habille

Cauchemar. Je vis un cauchemar. Je ne vois pas d'autre explication. Comment est-ce arrivé? Pourquoi à moi? Qu'ai-je donc raté? Cauchemar!

Ce matin je me suis levé comme tous les samedi (aux alentours de 9h28) pour prendre mon petit déjeuner. Je n'étais pas très réveillée mais je suis très vite retombée sur terre. En pénétrant dans la cuisine je me suis retrouvé nez à nez avec un homme a moitié nu, d'une dizaine d'année mon cadet (il devait avoir environ vingt-cinq ans). Une question s'est vite imposée dans mon esprit: depuis quand des éphèbes en (presque) tenue d'Adam se promènent dans ma cuisine le samedi matin? Il me regarde de ses grands yeux de bœuf sous sédatif et ne semble pas mal à l'aise. Il m'annonce tranquillement qu'il est le nouvel ami de Clémentine. Clémentine… Ce nom me dit quelque chose mais je n'arrive pas à… NON?!? Ma Clémentine? Il me regarde et tente un peu d'humour pour me détendre: "Si vous êtes son père il est probable que ce soit la votre!". Je le regarde d'un œil méprisant. Comment mon petit bébé de quatorze ans peut-il avoir ramené un ahuri pareil? Tout vacille, je m'effondre.

Soudain je me retrouve face à un énergumène vêtu d'un tutu rose, d'un chapeau haut de forme bigarré et d'une paire de bottes de pêche en caoutchouc. Ah, j'allais oublier les bretelles Edelweiss et la pipe a clapet modèle Schwyz 1612 (Made in Muothatal). Il m'apprend que je suis dans le royaume de la mode et du kitsch et qu'il en est le superviseur. Il se nomme Hype Fresh. Il m'explique que je suis ici pour avoir les réponses à mes questions. Beaucoup de parents arrivent en ce lieu après avoir fait une chute de pression à la suite d'une rencontre pour le moins… surprenante. Je vois un écran se profiler au loin. Il arrive devant nous et me salue en soulevant son chapeau: "appelez moi Hémepègue!". Puis il me projette dans une spirale d'images infernale. Je me revois en train de faire les boutiques avec mon chouquinet bout de chou et me rends soudain compte que ma petite Clémentine s'habille comme ses idoles, c'est-à-dire n'importe comment. Du coup il devient assez logique que de vieux pervers malades ne parviennent pas à résister à son string collé sous ses aisselles et à son pantalon taille basse (de nos jours la taille se situe juste en dessus des genoux). Hype m'annonce que malheureusement je ne peux plus rien y faire, le 21ème siècle sera le temps ou l'on verra des petites fille ayant des seins avant d'avoir des dents et des hommes de vingt-cinq ans dotés de cerveaux pré néanderthaliens, ce qui fait qu'a leur âge ils s'entendent parfaitement bien avec ces petites femmes de quatorze ans.

Je reviens à la réalité dans une sensation de voyage disco. Le gaillard se trouve en dessus de moi et me met des petites claques. Je me lève et prend un air résigné, je me souviens de mon rêve. Cela permet au jeune homme de prendre un peu de confiance. Il me touche l'épaule et… Je me retourne lui balance un pain dans les dents et le propulse par la fenêtre de la cuisine en le traitant de noms de camemberts exotiques. Il chute des deux étages et couine légèrement. Traitez-moi d'esprit rétrograde, mais l'époque String-Tassepienne ne prendra pas emprise sur moi. Parents, continuons la lutte, brûlons MTV!!!

Lettre du mal

Salut à vous, O lecteurs.

Si vous m'avez trouvé c'est que la fin est proche. Vous ne savez pas qui je suis mais je vous connais mieux que quiconque. Je suis là depuis le commencement et je serai là à la fin des fins, caché sous le moindre fait, je dirige tout. Je n'existe pas vraiment mais avec le temps je me suis creusé une place de choix dans l'inconscient collectif. Et cela uniquement grâce au seul sentiment que je suis capable de ressentir: la haine. Je pousse les hommes dans les voies de la folie, de la luxure, de l'intolérance. Je me complais à semer la mort, avec de belles séries d'exterminations à mon actif. L'homme est tellement influençable et sa volonté est si faible. Un souffle de ma part, vous vous insultez. Un murmure et c'est l'altercation. Une seule parole et le meurtre est commis. Imaginez ce qui se passera le jour ou je hurlerai ma haine au monde entier. Je vous hais parce que vous avez tout et n'en faite rien. Vous passez votre temps à geindre sur votre sort et à vous accabler de tous les maux du monde. Votre cerveau n'est emplit que d'une seule image: la votre. Vos congénères n'existent plus. Une seule règle: réussir! Vous ne savez pas vivre ni admirer ce qui vous entoure. Vous ne voyez plus le soleil, les arbres, le vent, tout ce qui vous entoure. Vous ne remarquez que le béton, les nuages, la grisaille, le froid, la tristesse, votre misérable solitude et lorsque vous ouvrez les yeux pour voir plus loin, la seule chose qui vous apparaît vous fait peur: votre mort qui vous appelle irrémédiablement . Vous qui avez la chance de profiter de ce monde, qui êtes conscient de votre unicité, vous gâchez tout. Et pour cela je vous déteste à un point que vous ne pouvez pas imaginer. Je vous jalouse et votre comportement me repousse. Vous êtes de chair et d'os, vous avez la chance de pouvoir communiquer, de sentir une caresse et vous vous plaignez de tout. Je ne suis qu'une pensé condamnée à errer au milieu de vous, un îlot sombre ancré au fin fond de vos crânes. Lorsque vous serez tous exterminés je serai enfin libéré, ma mission aura été accomplie. J'aurais pu changer, vous aimer ou tout du moins vous laisser tranquille, mais vos agissements me rebutent. Alors je vous donne quelques idées… Guerre, capitalisme, insécurité, rejet social, marginalisation, épidémies, xénophobies, persécutions raciales, drogues, suicide, sadisme, violences policières, injustice, vengeance, la liste est longue. Ce n'est pas très dur vous vous protégez tellement que la moindre agression est ressentie comme d'une extrême violence. Un regard de travers suffit à conduire au drame. Seule ma haine me permet de me distraire, je ne connais rien d'autre. Ce que vous appelez amour est en fait un fruit de ma haine. Vous devez penser que je divague… Ma fois non. L'amour est la plus grande réserve de souffrance pour l'être humain. Essayez de trouver une seule personne ayant éprouvé une douleur plus grande que celle ressentie par amour. Une rupture, la perte d'un être cher, un enfant subissant la violence de ses parents, le crime passionnel; vous connaissez tout ça. Ce sont uniquement les conséquences de l'amour. Il n'y a pas à dire jouer aux pantins avec vos corps de molachu a été ma seule distraction.

Malheureusement je suis fatigué. Je n'en peux plus de voir chaque jour votre race immonde fouler une terre si belle. Mon cri remonte dans mes poumons et vous vous en êtes certainement rendus compte. Le monde s'enflamme. Oh bien sûr il y a les guerres mais vous y êtes habitués. J'ai trouvé de nouvelles troupes. La drogue et l'alcool se déversent sur vos vies, les minorités enfermées dans des carcans sociaux commencent à s'enflammer et à attaquer vos soi-disant défenseurs, ces chiens de l'Etat que vous nommez juges et policiers. Les jeunes ont été bien dressés. Ils abhorrent cette société qui les rejette. La foule bouillonne et l'explosion se prépare. Ma partition touche à son terme pour finir dans un bouquet final digne des meilleures symphonies. Lorsque tout explosera vous repenserez à moi et vous regretterez. Vous regretterez ce bonheur à côté duquel vous serez passé durant votre vie entière. Mais le retour en arrière est impossible. Vous êtes allés trop loin. Désormais je suis incrusté au plus profond de vos cœurs et je vous ronge de l'intérieur. Le cri monte. Ressentirais-je pour la première fois le bonheur? Ma fois oui. Bon voyage vers l'enfer mes ennemis, on s'y retrouvera! Mais cette fois je serai le seul maître et vous payerez pour votre insouciance et votre égoïsme.

Que la douleur vous submerge.

Le Mal

Hallucination post-cognaquienne

L'adrénaline monte, symptôme de folie et de honte
L'ivresse te submerge et t'éloigne de la berge
La schizophrénie s'empare de ton corps endolori
Tu t'emballes, comme un moteur atteint de folie
Ta cervelle s'enfuit, las de ton ennui
La fatigue envahi ton pénis circoncis
Plus rien ne compte, si ce n'est ta nature immonde
Fruit de Dieu ou, qui sait, de Satan l'odieux
Gilles débarque et fustige la tourette
Et prends ta femme dans une psychédélique levrette
Tu hurles, tu cries, tu rues
Comme une mini bulle, de dépit tu te prostitues
La démence frappe ton cervelet ridicule
Qui se débat et s'agite comme une paire de testicules
En manque de contact humain, qui ne supportent plus tes mains
Douce comme du papier de verre touché d'ulcère.
Ta vie n'a pas de sens, tu gigote comme un pendu sur une potence
La solitude ne t'amènera jamais la plénitude
Elle te ronge et mange tes intestins, comme un ténia crevant de faim
La douleur t'attire tel une tronçonneuse à moteur
Elle te déchiquette, ronge ton ridicule petit zguègue
Tes hurlements sont inutiles, je ne suis pas un serial killer nubile,
Ta mort sera atroce, pire qu'un cauchemar avec Diana Ross
Tu veux mourir? Très bien, mais avant que tu expire
Sache que la vie est le réel paradis,
Peuplé de douleur et de vaines couleurs
Il te reflète l'espoir et te pousse à croire
Qu'un jour tu seras riche et démentiellement fortiche
Crève salopard en manque de pernicieux dollars
La délicieuse odeur de ta souffrance malicieuse
Envahira mes narines jusqu'à ce que tu ne sois plus qu'une bruine
Se condensant sur une guillotine prête à trancher la tête
D'une toute petite gamine salace et couverte d'urine!

Crés cochons d'jeunes

Je m'présente, moi c'est Eugène. J'ai 87 ans et aujourd'hui je suis révolté. Je marche derrière mon petit chariot (mais oui, le dernier Handicap 2000). Et pourquoi suis-je donc révolté? A cause de ces crés cochons de p'tit jeunes qui respectent plus rien! Ils se contrefichent de leurs aînés. Non mais cré colle j'vous jure. Vous avez d'jà emprunté les Transports Neuchâtelois (TN qu'ils disent, les jeunes) qui parte de la place de notre bon vieux m'sieur Pury (la Pépsse qu'ils disent les jeunes)? Pas moyen de poser ses vieilles fesses ramolies sur un de ces crévindiou de sièges. Ils sont tous assis comme des vauriens avec leur Hémepétrois sur les oreilles et ils polluent ce qu'il nous reste d'audition. Donc aujourd'hui ben Bibi il a décidé de marcher. Parce que j'ai beau être une vieille forêt j'en reste pas moins un homme qui souhaite le respect. Mais dans la rue, ben bon dieu de bon dieu c'est pas mieux d'un poil. Partout ils gribouillent leurs immondices sur les murs de notre belle vieille cité. Ils boivent dans la rue, fument du haschisch (du schmidt ou de la weeb j'crois qu'ils disent les jeunes). Ils se moquent des vieilles dames qui promènent leurs douze yorkshire en parlant toutes seules d'un air perdu et tentent de nous apprendre la vie, à nous, qui savions encore être de bons travailleurs quand nous avions leur âge, à se tuer à la tâche pour leur bâtir de si belle villes. Non mais faudrait les abattre! Plus personne ne pense a nous, le 3ème âges (vieux débris fossilisés en semi décomposition qu'ils nous appellent ces crés bon dieu de jeunes) non mais je vous jure j'en ai vraiment… PAF JGLING BLANG BOUM CRAC… aïe, arg (bruit de bus contre os poreux)!

MORALE: chères personnes âgées, vous ne nous respectez pas nous vous le rendons bien, mais s'il vous plait, respectez au moins la signalisation des passages cloutés!

Vision d'avenir

Vision d'avenir, la fureur envoie ses sbires.
Plus rien ne vit, en tout lieu la misère sévit.
Ils ont voulu jouer les dieux, les hommes sont partis en feu.
Les piques de la haine ont ravagé les vieilles rangaines,
Les vieillards s'écroulent, les loups les rendent maboules.
L'ADN se transforme et crée des monstres étranges
Résultats d'expériences scientifiques psychédéliques
Semblables aux rêves d'Albert et de ses fantaisies atomiques.
Les enfants déambulent massacrants les chiens errants,
Manger leurs yeux, ronger leurs dents,
Tout dévorer pour rester vivants et errants
Futur de chaos résultats des bassesses de nos ego,
De nos lâchetés le plus réaliste des tableaux.
Rengainez vos douleurs et vos maux
Le futur est le plus terrible des fléaux
Fruit de notre débauche et de nos ébauches
De planète parfaite et surfaite
Tout s'est écroulé, tout a sombré.
Désormais la joie est prohibée, stupéfiant de l'esprit.
Seul le suicide est autorisé, voire conseillé.
Les falaises et les potences sont désormais alliées de l'enfance.
Refuser de grandir, préférer mourir, ne pas voir le vide s'élargir
Refuser de pourrir dans un monde où les charognards sont rois
Seules les drogues servent de rempart, permettant de crever, l'air hagard
Les carcasses de voitures on remplacés les buildings
Tout est ruines et flaques d'urines, pseudo rêve sous mescaline.
Au loin flotte un parfum de mort, la vie violemment s'endort,
La faucheuse est prête à accueillir l'aurore

C'est dimanche, et comme tous les dimanche on ressent comme un grand vide. Surement dû aux excès des deux soirées précédentes. Alors on trainasse, on cherche ce qu'on pourrait bien faire pour remplir la journée. On en arrive à une conclusion... rien ne peut chasser l'ennui. On se promène sur le net, on allume msn... personne. Alors on succombe, on crée son blog pour faire comme tout le monde. Voilà où j'en suis aujourd'hui. Mais je pense pouvoir résister à la tentation (totalement absente) de remplir ce blog de photos et de petits textes puérils écrits en langage sms (c kan mm tro for slangage, on per - 2 temp). J'ai déjà écrit quelques textes alors autant les publier, et peut-être que d'autres les rejoindrons bientôt. Disons que pour l'instant je cherche juste un moyen de tuer mon dimanche après midi. Je vous laisse, j'ai à faire.